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Rui Pinto

Jugé coupable de 91 crimes sexuels sur des enfants, parfois au sein même d'une école, le pédophile d'Aveiro n'ira pas en prison

Jugé coupable de 91 crimes sexuels sur des enfants, parfois au sein même d'une école, le pédophile d'Aveiro n'ira pas en prison

Le Portugal connait malheureusement de nombreux abus sexuels sur des mineurs, et les peines appliquées en feront sursauter plus d’un. Dernier exemple en date, un portugais reconnu coupable de 91 crimes d’abus sexuels sur des enfant de 9 et 12 ans, et ce parfois au sein même d’une école, n’a été condamné qu’à seulement 5 ans de prison avec sursis. Le criminel, qui a sévi dans le district d’Aveiro, reste ainsi en liberté, et met en lumière le problème du Portugal avec ses pédophiles. Lisbob, l’assistant des exaptriés au Portugal, vous dit tout sur cette peine ridicule pour le pédophile portugais.

Libération de Rui Pinto, le Julian Assange portugais

Libération de Rui Pinto, le Julian Assange portugais

C’est une grande nouvelle pour Rui Pinto, le célèbre hacker portugais à l’origine de révélations d’évasion fiscale, notamment les fameux “football leaks”. Après avoir été arrêté à Budapest le 8 avril 2019, puis extradé à Lisbonne, Rui Pinto aurait montré une volonté de collaborer avec les autorités portugaises. Malgré le fait qu’il soit accusé d’un total de 90 crimes liés à ses piratages informatiques et autres révélations, Rui Pinto, celui que l’on appelle le Julian Assange portugais, va être libéré dans l’attente de son procès. Lisbob, l’assistant des expatriés au Portugal, vous dit tout sur la libération de Rui Pinto, hacker à l’origine des “Football leaks”.

Des pirates portugais et brésiliens publient les noms et adresses de 100 sites pédophiles pour forcer les autorités à agir

Des pirates portugais et brésiliens publient les noms et adresses de 100 sites pédophiles pour forcer les autorités à agir

Les hacktivistes portugais et brésiliens de CyberTeam ont piraté les pages d'accueil de dix villes brésiliennes avec des données d’un réseau pédophile pour forcer les autorités à intervenir. "Nous avons déjà informé la police et certaines autorités locales, mais elles ne nous ont même pas répondu." Leur chef explique les raisons de ce geste au journal italien La Repubblica, opération nommée #OPPedoGate. Des données comme comme le nom, l'adresse de réaseaux pédophiles ont été publiées. Lisbob, l’assistant des exaptriés au Portugal, vous dit tout sur ces hackers qui font justice eux-mêmes contre les réseaux pédophiles.